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A propos...

bonjour,

c'est Camille... je vous invite à vivre une nouvelle aventure avec moi. je m'engage dans un nouveau jeu dont je ne connais ni le règles ni la nature... peut être que ça vous donnera des idées... Bienvenue dans le monde des merveilles du sexe !

En ce jour d'anniversaire, je vous préviens, messieurs, vous allez trembler et vous mesdames, vous allez apprécier !

N'hésitez pas non plus à vous inscrire à la newletter afin d'être prévenu dès la sortie d'un nouvel article et de ne louper aucune miette de mes aventures.

à suivre...

 

camille à l'hotel

Vendredi 23 septembre 5 23 /09 /Sep 00:00

Monsieur K. la regarda attendant avec une impatience visible la réponse à sa question afin de pouvoir engager la suite des réjouissances. Elle réfléchit un instant et lui répondit :

- Aujourd'hui, je serais dominée...

Monsieur K. se trouva vivement intéressé par cette révélation. Durant les prochaines heures, Camille serait à lui. Il appréciait grandement cette idée : sa jolie assistante, dans ses bras, soumise. Oui, cette situation lui convenait parfaitement.

Camille se laissa faire. Il lui retira son soutien-gorge entièrement et le lança derrière lui. Il tira la jeune femme contre lui. Il plaça son sexe bandant entre les jambes de son assistante. Elle se pendit à son cou et il lui caressa les fesses. Elle ne portait plus que ses chaussures noires à talons.

Monsieur K. passa à la vitesse supérieure. Il prit son sein droit entre ses doigts et le malaxa. Il l'embrassa tendrement, parcourant le moindre recoin de son corps grâce à sa main libre. Il quitta ses lèvres et se dirigea vers son téton droit. Il le mordilla doucement. Camille se sentit brûlée intérieurement. Elle avait envie de cet homme qui savait lui procurer un bien être encore inconnu. Elle ferma les yeux et laissa Monsieur K. l'explorer à souhait. Il lui suça le téton avec plus d'ardeur. Un petit pincement lui arracha un petit cris. Il passe immédiatement à l'autre sein tout en pinçant le téton mouillé entre son pouce et son index. Ses longs touchaient le bois du bureau. Ensuite il mordilla le second téton de Camille. Il provoqua le même petit cri.

- Tu es sucrée.

Il dirigea sa main gauche vers le ventre de Camille puis vers ses cuisses. Son index s'approcha de ses parties intimes. Il écarta ses lèvres intimes avec douceur et chatouilla son petit bouton d'amour. Il caressa vigoureusement son clitoris puis s'aventura vers l'entrée du vagin. Il constata que Camille était particulièrement réceptive à ces petites attentions. Il enfonça doucement son index et son majeur dans le vagin de Camille. Elle frémit en sentant ce corps étranger entrer doucement en elle.

Il poursuivit son aventure par un mouvement de va-et-vient en Camille. Elle gémit faiblement face à cette sensation qui commençait à brûler tout son être. Il retira ses doigts et les plaça devant les yeux de la jeune rouquine. Il mit ses doigts dans sa bouche et finit par les lécher. Camille s'en trouva fortement excitée. Elle plaça ses mains sur le sexe de Monsieur K. et voulut lui détruire le dernier rempart qui pouvait encore la séparer d'une pénétration. Il lui prit aussitôt les mains et l'empêcha de saisir son pénis. Camille parut surprise et il lui sourit gentiment.

- C'est moi qui décide quand, comment et où... Ne va pas trop vite, jeune fille...

Camille rougit sérieusement devant un tel élan de sévérité. Il replaça ses doigts entre ses cuisses et la caressa encore et encore. Il la regarda les yeux pétillants. Camille, derrière ses lunettes noires ne savait plus quoi faire. Elle ne pourrait plus se retenir pendant longtemps, et elle comprit que c'était son but. Il tenait à la soumettre entièrement à lui. Il serait le maître durant le temps qu'il leur restait... Elle serait donc cette maîtresse.

Elle laissa glisser en elle cette sensation de douceur. Tout son corps le réclamait. Elle ne s'était pas laisser aller depuis tellement longtemps qu'elle se mit à craindre de ne jamais plus pouvoir éprouver cette jouissance. Monsieur K. l'embrassa soudain et activa ses mouvements en elle.

Camille se mordit les lèvres et encore une fois il retira ses doigts. Elle le regarda tentant de lui faire comprendre qu'elle serait très contrariée s'il ne continuait pas immédiatement. Il pencha la tête vers la droite et la questionna du regard.

- Tu seras à moi...

Il retira son slip et s'accroupit en face des parties intimes de Camille. Elle baissa les yeux ; il releva la tête et sourit...

à suivre...

Par camille - Publié dans : camille à l'hotel
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Jeudi 22 septembre 4 22 /09 /Sep 00:00

Monsieur K. se redressa et se plaça devant Camille. Elle recula d'un petit pas et laissa son string rouge et noir atteindre le sol. Elle se rapprocha de Monsieur K en mouillant ses lèvres. Elle plaça ses mains sur son torse et caressa avec une extrême douceur ce corps musclé et masculin. Ensuite, elle dirigea ses gestes vers la boucle de la ceinture retenant le pantalon noir de Monsieur K. Il la dévorait du regard, se languissant du moment où elle serait allongée dans les draps, gémissant de plaisir. Elle défit sans peine la boucle de sa ceinture. Il émit un son bestial et embrassa brutalement Camille. Elle fit coulisser la fermeture éclaire du pantalon. Elle libéra alors le pénis de son patron. Camille garda sa douceur malgré le geste surprenant de la part de cet homme si tendre.

 

 

Elle déposa délicatement son index sur les lèvres de Monsieur K. Il sourit et se reprit. Elle approcha ensuite ses lèvres de sa joue et l'embrasse amoureusement. Il se sentit fondre et l'enlaça tendrement. Brusquement, il la souleva et l'assit sur le bureau juste à côté de sa valise. Il lui écarta doucement les cuisses et se plaça entre ses jambes. Elle plaça ses mais sur son pantalon et celui-ci tomba directement sur ses chevilles. Il portait un slip blanc moulant. Elle effleura son pénis en érection.

 

 

Camille lui servit son regard de louve et plongea ses yeux dans les siens. Il parut particulièrement déçu qu'elle retire ses mains de son fétiche. Elle sourit et lui montra du doigt ses chaussures. Monsieur K. suivit des yeux son doigt et recula légèrement. Il retira son pantalon noir et d'un coup sec le jeta en arrière. Il retira ensuite ses chaussures l'une après l'autre et les poussa sous le meuble. Il caressa les épaules de Camille et fit glisser son chemisier blanc. Elle l'attrapa d'une main et le jeta à son tour juste à côté de son string. Il se tenait devant elle, en chaussettes noires et en slip.

Elle posa ses mains derrière elle et lui offrit sa généreuse poitrine encore enfermée dans son soutien-gorge rouge et noir. Il soupira d'excitation et la saisit par les hanches. Il la rapprocha de lui. Elle laissa tomber sa tête en arrière et lui offrit son corps. Il lui embrassa la poitrine, la gorge, le cou. Elle releva la tête et il l'embrassa tendrement. Il dégusta les lèvres rosées de son assistante rousse. Elle savoura la douceur de ce baiser. Il dirigea naturellement ses mains dans son dos. D'un coup sec, il dégrafa son soutien-gorge. Elle exprima sa surprise en ouvrant de grands yeux. Il éclata de rire.

- Tu pensais que je ne se serais pas à la hauteur ? Je suis toujours à la hauteur !

Elle le défia du regard.

- Quelle prétention !

- Nous verrons bien...

Camille se mouilla les lèvres et reconnut bien là les paroles de Monsieur K. Il négociait de la même manière avec les clients "récalcitrants au système en place". Elle réprima une envie de rire. Elle ne tenait absolument pas à entacher une atmosphère aussi chargée en tension sexuelle par une attitude d'adolescente trouillarde.

Elle reprit son membre en main, toujours à travers le tissu. Tout en caressant les épaules de sa jeune assistante, il fit glisser les bretelles de son soutien-gorge. Tandis qu'elle malaxait son pénis, Camille se surprit à penser que sa grosseur pourrait éventuellement poser problème. Elle se remémora sa douloureuse expérience passée. Elle se crispa légèrement. Monsieur K. sentit aussitôt son changement d'attitude.

- Je serais très doux, promit-il avec lui léchant le cou.

Il souffla légèrement, arrachant à Camille un frisson qui lui courut le long de la colonne vertébrale. Elle se reprit rapidement et constata que Monsieur K. commençait à la faire juter intérieurement. Elle sentit alors la douce chaleur de son patron. Elle se rapprocha d'avantage et lui saisit les fesses. Elles étaient fermes et musclées. Camille sourit et savoura ce moment. Il souffla doucement à son oreille :

- Dominante ou dominée ?

Elle ne répondit pas tout de suite.

à suivre...

Par camille - Publié dans : camille à l'hotel
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Mercredi 21 septembre 3 21 /09 /Sep 00:00

Camille recula légèrement. Etrangement, elle se ne sentait pas vraiment prise au piège. Cette situation semblait avoir quelque chose de comique, d'excitant et de torride. Elle lui demanda, avec un maximum d'innocence :

- Vous vouliez me parler ?

Monsieur K. recula également et tenta de capter son regard mais elle gardait obstinément les yeux rivés au sol. Il soupira et secoua la tête.

- Euh...oui.

Il passa la main dans ses cheveux noirs et sourit. Il ne termina pas sa phrase. Camille jeta un oeil vers la porte close. Elle fut quasiment obligée de croiser son doux regard. Il se rapprocha et lui souleva délicatement le menton. Elle plongea ses yeux menthe dans ses yeux marrons. Elle se sentait rougir au plus profond de son coeur. Il l'embrassa sur le front tout en passant ses mains dans ses cheveux roux.

- Ton tailleur est ravissant, mais je suis sur que tu es encore bien plus belle sans...

Le doux murmure de sa voix masculine lui caressa l'oreille. Elle se sentit défaillir. Il laissa ses mains glisser le long du corps de la jeune femme, puis sous sa veste. Il la fit glisser le long de ses bras et la lui retira entièrement. Il la regarda en souriant. Il défit ensuite les boutons de son chemisier.

- Tu devrais te détendre un peu. Je te mangerai plus tard...

Elle sourit malgré elle. Il était si tendre, si doux, et si patient. Elle remarqua alors qu'il portait un costume qu'elle n'avait jamais vu sur lui. Le noir lui allait particulièrement bien mais aujourd'hui, plus qu'un autre jour il était beau. Camille ferma les yeux, espérant de toute son âme qu'elle n'était pas encore dans un des ses rêves qui avaient fusés toute la nuit. Lorsqu'elle les rouvrit, il était toujours devant elle, tendre et doux. Elle ne rêvait pas ! Camille était en train de commettre l'irréparable avec Monsieur K. Peu importe. Elle avait terriblement envie de lui.

Elle glissa à son tour, ses mains sous la veste de Monsieur K. Elle tira brutalement la chemise, qui n'opposa aucune résistance, de son pantalon noir. Il retira sa veste, comprenant le message intime envoyé par la jeune femme. Camille caressa son torse imberbe. Elle laissa ses doigts visiter à volonté les courbes du corps de Monsieur K. Elle déboutonna alors sa chemise blanche.

La dominant d'une tête, il se pencha et descendit la tirette de sa jupe. Elle tomba sur la moquette dans bruit. Il découvrit alors, des dessous rouges et noirs à dentelle. Camille portait un élégant string à dentelle orné d'un ravissant papillon à la naissance de ses fesses. Monsieur K. autorisa ses doigts à caresser la peau blanche et douce de Camille. Il s'accroupit alors et se plaça en face de ses sous-vêtements.

Il saisit entre ses doigts le fil de ses dessous et tout en caressant ses hanches, il les lui retira. Il découvrit un sexe épilé. Camille ferma les yeux et pinça les lèvres. Il caressa ses hanches, laissa remonter ses mains sur son ventre puis écarta les pans de son chemisier blanc déboutonné. Il regarda sans surprise, le soutien-gorge rouge et noir assorti au reste des dessous. Camille portait des bas noirs sans porte-jartelle. Ses fines cuisses lui permettait de s'en passer.

- Tu es belle...

Ce fut plus un souffle qu'une parole. Il l'embrassa sur le bas ventre et prit ses fesses à pleine main. Camille ne bougea pas. Monsieur K. posa ensuite ses deux mains sur ses hanches.

à suivre...

Par camille - Publié dans : camille à l'hotel
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Mardi 20 septembre 2 20 /09 /Sep 00:00

Camille ouvrit la porte de sa chambre, son rapport tapé et imprimé sous le bras. Sa montre bracelet indiquait 8h10. Elle devait rejoindre Monsieur K. à la table du petit déjeuner à 8h30. Elle jeta un coup d'oeil dans le miroir de l'entrée. Elle se vit, fidèle à elle-même. Elle portait un tailleur gris clair et ses cheveux roux coiffés en chignon retenu par une tige de plastique. Ses lunettes noires et rectangulaires cachaient ses yeux verts menthe et lui donnait un air terriblement sérieux. Camille savait lorsqu'elle se regardait dans un miroir, pourquoi elle était seule les nuits. Trop sérieux. Elle se retourna et regarda le lit défait. Elle embrassa la chambre du regard et ses yeux se posèrent sur sa valise bouclée et posée sur le bureau. L'ordinateur portable attendait sagement, dans sa housse protectrice, sur la valise.

Camille se surprit à soupirer et retira, les yeux sur l'intérieur de sa chambre, sa clé de la serrure. Elle tenait à arriver avant lui à la table. Elle savait qu'elle n'aurait pas la force de voir les yeux de Monsieur K. se poser sur elle et la regarder marcher vers lui. Elle préférait que ce soit elle qui le regarde arriver vers la table. La clé ne semblait pas vouloir sortir de la serrure. Camille soupira et fit un pas en arrière.

Elle recula légèrement et s'acharna sur la clé qui ne bougeait pas d'un millimètre. Elle ferma les yeux et regarda pourquoi la clé lui tenait tête de cette manière. Celle ci ne pouvait sortir de la serrure puisqu'elle ne se trouvait pas en face du mécanisme. Elle avait soudainement envie de pleurer. Elle se sentait bête. Des milliers de pensées, plus originales les unes que les autres, lui effleuraient l'esprit. Elle retira la clé de la porte et voulut s'élancer dans le couloir mais elle se heurta à une personne en face d'elle.

Camille recula et trébucha. Monsieur K. se tenait devant elle. Il tendit une main virile et la retint par le bras. Elle releva la tête et constata que Monsieur K. lui souriait.

- Vous êtes vous fait mal ?

Camille le regarda et esquissa un sourire. Elle secoua la tête doucement et lissa son tailleur gris. Puis elle remonta ses lunettes qui avaient légèrement glissé. Monsieur K. ne lâcha pas le bras de Camille.

- Avez-vous bien dormi ?

- Oui, merci beaucoup.

Elle lui tendit le rapport qu'elle avait tapé durant la nuit, entre deux pensées sexuelles. Il prit la pile de feuilles reliées et regarda Camille droit dans les yeux. Il plaça les feuilles sur sa droite et les lâcha. Elles tombèrent directement sur la moquette rouge sans un bruit. Elle le regarda perplexe.

Camille ne put, malgré elle, soutenir le regard du jeune homme. Elle tourna la tête et se sentit rougir de tout son être. Monsieur K. s'approcha doucement d'elle. Elle sentit alors l'odeur musquée de son corps.

Il approcha ses lèvres très près de l'oreille de Camille et lui murmura :

- Il n'est pas encore 8h30... puis-je vous parler ?

Camille sentit son coeur battre très rapidement. Elle avait pourtant tellement travaillé ses attitudes et sentait ses efforts chaque jour. Malheureusement, sa vision nocturne et ses envies la rendait si vulnérable et fragile. Et Monsieur K. le savait parfaitement. Il la fit reculer dans la chambre avec une grande douceur. Camille sentait son souffle chaud dans son cou. Ses joues rouges commencaient à être douloureuses.

Il lui sourit, découvrant ses dents blanches. Il caressa la joue droite et sa main gauche libéra ses cheveux roux. Ils tombèrent alors jusque sur ses reins. Il les regarda et laissa sa main glisser dans son dos pour caressa ses reins.

- J'aime les longs cheveux... et en particulier les rousses.

Elle inspira un grand bol d'air et le laissa la caresser. Il sourit et l'embrassa sur la joue. Il entra dans la chambre et vit le lit défait. Il questionna Camille du regard. Elle se contenta de hausser des épaules et il ferma la porte.

à suivre...

Par camille - Publié dans : camille à l'hotel
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Mardi 20 septembre 2 20 /09 /Sep 00:00

Camille est une jeune femme qui pourrait ressembler à n'importe qui. Elle aime rire, rencontrer des gens, s'amuser, et découvrir de nouvelles choses...

Camille travaille la journée pour une entreprise de services. Ses déplacements professionnels la conduisent souvent à rester sur place. Elle dort dans des hôtels, participe à des réunions, des conférences et meeting. Son appartement est situé dans l'Ouest de la France. Son travail est sa vie durant la journée. Mais lorsque le soleil se couche et laisse sa place à une lune traîtresse, Camille troque son petit tailleur d'assistante contre des dessous plus adaptés aux exigence de la lune afin de s'épanouir pleinement...

Cette nuit, elle travaillait dans sa petite chambre d'hôtel près de Paris. Elle frappait nerveusement sur les touches de son ordinateur portable éclairé par la petite lampe de bureau. Ses yeux verts menthe semblaient très fatigués mais il fallait absolument terminer le rapport de la conférence sur les transports et leurs modulations avant le lendemain. La rédaction de ce rapport semblait prendre l'éternité...

Elle se leva et s'étira pour détendre les muscles tendus de son dos et sa nuque. Elle se leva et entreprit de se rendre à la cafétéria pour se servir un café. Elle sortit de sa chambre en prenant sa clé.

Camille descendit lentement les escaliers et se posta devant la machine à café. Elle se servit un café que la machine cracha en quelques secondes. Elle le prit du bout des doigts et tenta de ne pas se brûler.

Elle regagna doucement sa chambre avec une envie quasi nulle de l'atteindre. Son tailleur la serrait terriblement, mais elle ne l'enlèverait pas tant qu'elle n'aurait pas terminé son rapport. Les escaliers semblaient plus hauts que lorsqu'elle les avait descendus.

Elle posa délicatement sa chaussure à talon sur la moquette du couloir lorsqu'elle entendit des petits cris. Elle s'avança prudemment. Plus elle se rapprochait de sa chambre plus les petits cris augmentaient de volume. La porte de chambre voisine était restée entre-ouverte. Sa réflexion fut très rapide. La chambre voisine était celle de son patron. Surprise, elle s'arrêta et écouta patiemment. La femme semblait apprécier son traitement. L'homme respirait bruyamment en émettant de temps à autre un grognement de satisfaction. Camille malgré le fait d'être de l'autre côté de la porte, se sentit de trop.

Elle reprit sa route mais ses yeux s'attardèrent sur la lumière tamisée à l'intérieur de la chambre d'hôtel. Son café commençait à lui brûler sérieusement les doigts. Elle savait qu'elle devrait bientôt le poser sinon elle serait obligée de la lâcher et il tomberait sur la moquette rouge du couloir. Elle retint sa respiration et elle hasarda un regard en direction du lit. Elle vit l'homme se tenant sur ses bars, regardant la femme. Elle était blonde, un très beau blond. Les longs cheveux de la femme pendaient avec négligence au bord du lit. Elle se souvint immédiatement où elle avait pu voir un tel blond. Elle s'était même surprise à envier la douce couleur des cheveux de l'animatrice de l'accueil de cette conférence.

Son patron, Monsieur K., lui avait souris poliment puis serré la main. Camille était loin d'imaginer que quelques heures plus tard, elle assisterait à une telle scène. La femme fermait les yeux. Soudain Monsieur K. releva la tête dans un moment intense. Camille croisa malgré elle, son regard. Elle sursauta sans le vouloir et se sentit rougir comme une tomate. Elle soutint son regard, non pas curiosité, ni par fierté mais plus par surprise. Elle savait que Monsieur K. n'était pas marié. Il était plutôt bel homme ; grand, crinière noire coupée au bol, yeux marrons, bouc et lunettes noires très fines. Il portait des costumes serrés et son élégance allait de paire avec son magnifique sourire dont il gratifiait Camille chaque fois qu'elle entrait dans son bureau.

Monsieur K. soutint encore son regard et la défia. Il poursuivait ses va-et-vient entre les cuisses de la blonde en regardant Camille. Elle se demanda si son café lui brûlait seulement les doigts car ses joues étaient en feu. Monsieur K. redoubla de vigueur tout en regardant Camille droit dans les yeux. Soudain, il poussa brutalement son pénis dans le vagin de la blonde et elle cria.

Camille se sentit idiote et baissa les yeux. Elle releva la tête et vit Monsieur K. se retirer. Elle le vit se lever et se diriger vers la porte. Elle l'entendit prendre un vêtement. Elle tenta de reprendre le dessus sur son esprit mais rien n'y faisait. Monsieur K. ouvrit doucement la porte. Camille ne put le regarder en face.

Elle se sentit rougir de plus belle. Elle sentit ensuite une main douce et virile lui prendre son café brûlant des mains. Elle releva la tête. Monsieur K. lui sourit et l'embrassa sur la joue. "Merci Camille. Tentée ?". Elle secoua ses boucles rousses malgré son envie de poser ses mains sur le torse que lui offrait généreusement Monsieur K. Elle lui laissa son café et se retira dans sa chambre.

Et c'est ainsi que Camille perdit son innocence.

Son aventure débuta par une porte entre-ouverte.

A suivre...

Par camille - Publié dans : camille à l'hotel
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