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A propos...

bonjour,

c'est Camille... je vous invite à vivre une nouvelle aventure avec moi. je m'engage dans un nouveau jeu dont je ne connais ni le règles ni la nature... peut être que ça vous donnera des idées... Bienvenue dans le monde des merveilles du sexe !

En ce jour d'anniversaire, je vous préviens, messieurs, vous allez trembler et vous mesdames, vous allez apprécier !

N'hésitez pas non plus à vous inscrire à la newletter afin d'être prévenu dès la sortie d'un nouvel article et de ne louper aucune miette de mes aventures.

à suivre...

 

Jeudi 13 octobre 4 13 /10 /Oct 00:00

Monsieur K. embrassa doucement les joues rouges de Camille. Il se retira doucement et se redressa. Elle le regarda pleine de questions. Il fronça le nez, exactement comme lorsqu'il lisait un contrat proposé par un client qui ne lui plaisait absolument pas. Il lui prit le poignet droit et l'invita à se lever. Camille suivit docilement le mouvement et se laissa guider jusqu'au bureau où leurs ébats avaient débutés.

La verge dressée, il plaqua son assistante contre lui et lui caressa son ventre rose. Lorsqu'il eut terminé ses caresses, il prit les mains de Camille et les déposa sur la planche de bois. Camille se trouvait à présent pliée, offrant généreusement sa croupe rose à son patron. Elle ferma les yeux, anticipant les prochains mouvements de l'homme qui prenait tant de plaisir à la faire jouir.

Monsieur K. prit son pénis et posa sa main droite sur le bureau. Il laissa son pénis et se pencha vers Camille. Brusquement, il lui frappa la fesse gauche. Camille rouvrit les yeux et sentit une larme perler au coin de son oeil. Elle tenta de se relever mais d'un geste ferme il la retint. Une autre claque s'abattit alors sur le postérieur de la rouquine. Elle ne put retenir un petit cri. La jeune femme essaya de se redresser mais Monsieur K. semblait déterminé à la fesser. Il continua et frappa Camille une troisième fois.

Elle sentit alors une larme lui couler le long de la joue. Une autre claque et une autre larme...

Camille pleurait. Il poursuivait sa fessée. Enfin, elle put se redresser et se retourna. Vivement, elle leva la main et s'apprêta à gifler Monsieur K. Mais celui-ci semblait pouvoir anticiper chacun de ses gestes et lui attrapa le poignet droit puis le gauche. Il les releva au-dessus de la tête de Camille et admira alors son magnifique poitrine. Il plongea dans les yeux de la jeune femme et l'embrassa.

- J'aime quand tu cries...

Il chuchotait. La dominant de toute sa hauteur, il sourit. Doucement, il lâcha Camille qui avait perdu toute envie de le frapper. Ses fesses avaient rougies sérieusement. Il lui effleura les joues et recueillit avec une délicatesse surprenante les larmes de son assistante. Camille fut touchée par ce petit élan de tendresse et en oublia l'humiliation de la fessée qui avait tant excitée Monsieur K.

Il embrassa ensuite ses joues et lécha ses larmes. La verge bien dressée, il se colla à Camille et lui fit à nouveau poser les mains sur le bureau. Camille résista. Il posa une main délicate sur sa fesse meurtrie et la caressa. Elle s'exécuta et posa alors les mains sur le bureau.

Monsieur prit sa verge et la dirigea vers l'entrée du vagin de son assistante. Cette fois, il prit son temps pour entrer en elle ; tandis que Camille se surprit à être impatiente d'avoir son patron en elle. Il entra enfin entièrement en elle. Il saisit ses hanches à pleines mains et constata que Camille était chaude et bien humide. Il savoura cet instant et entreprit des va-et-vient dans le ventre de la jeune femme. Il commença à fouiller les entrailles de son assistante.

Camille se laissa aller. Monsieur K. commençait à lui secouer les seins et prendre du plaisir devant la chair rosée. Il s'activa alors sentant ce sentiment envahissant de bien être monter en lui. La chaleur de Camille l'aidait à atteindre ce point culminant de toute nuit bien chaude.

La jeune rouquine laissa échapper un petit cri de plaisir. Monsieur K. resserra son étreinte.

A cet instant, ils entendirent frapper à la porte...

à suivre...

Par camille - Publié dans : camille à l'hotel
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Vendredi 30 septembre 5 30 /09 /Sep 00:00

Elle baissa les yeux et accueillit son sourire. Camille se sentit brûlante. Ce petit geste venait de réveiller en elle, des sentiments qu'elle pensait enfouis très profondément.

Monsieur K. savoura cet instant qui lui était accordé. Il approcha ses lèvres et souffla légèrement. Camille, surprise, recula un peu. Il connaissait la réaction féminine pour l'avoir souvent constaté auprès de ses conquêtes. Il souffla encore, arrachant un frisson à son assistante. Camille tenta de serrer les jambes mais Monsieur K. l'en empêcha avec force. Elle se sentait juter de manière indécente et ne pourrait bien plus se retenir. Il savait parfaitement sur quel chemin il venait de s'engager. Il s'apprêtait à pousser Camille vers la jouissance.

Camille sentit alors couler entre ses jambes son propre jus. Monsieur K. écarta doucement le sexe de la jeune rouquine. Il caressa avec ses doigts le clitoris de l'assistante. Elle gémit faiblement et se lécha ses lèvres. Monsieur K. laissa alors sa langue atteindre le con de Camille. Elle sursauta et il lécha avec vigueur. Camille se sentit fondre. Le plaisir prenait alors toute sa profondeur. Elle se concentra sur cette sensation qui grandissait en elle. Monsieur K. la regardait attentivement, tenant à capter chaque mouvement, chaque expression.

Elle tenta d'articuler une phrase mais les mots restaient obstinément coincés dans sa gorge. Monsieur K. estima que la "torture" avait suffisamment durée. Il se redressa et embrassa Camille. Sa langue fouilla furieusement Camille. Il plaça ses mains sous ses fesses et la souleva. Camille sentit alors entre ses cuisses le sexe bandé de son patron. Il recula jusqu'au lit défait et y déposa délicatement Camille. Il admira son trésor qui s'allongea lentement dans les draps blancs. Il l'observa avec des yeux remplis d'envie et sourit. Il grimpa sur le matelas et s'installa entre les jambes de Camille.

Elle commençait à s'impatienter. Monsieur K. se semblait visiblement pas très pressé de lui offrir son bijou... Camille se surpris à tendre les mains vers son pénis. Aussitôt, Monsieur K. la retint d'une main ferme.

- Pas tout de suite ! Je veux que tu puisses t'en souvenir. Je veux être le meilleur.

Camille le regarda, pleine de questions. Il lui caressa le bout de nez et l'embrassa sur le front. Elle se sentit un peu bête de chercher ainsi, avec insistance, la finalité de l'acte. Monsieur K. semblait davantage concentré sur le moment présent. Monsieur K. s'allongea sur elle et la caressa. Camille se laissa faire. Elle serait dominée...

Monsieur K. explora chaque centimètre de peau à l'aide de ses doigts puis il étudia la géographie de Camille à l'aide de sa langue. Il savait parfaitement quels étaient les points sensibles et prenait un plaisir presque sadique à s'y attarder. Il mouilla d'abord le creux de son cou puis dirigea sa langue entre ses deux seins. A ce carrefour, il se déplaça dans un premier temps vers la droite et mordilla le téton de Camille. Il se durcit rapidement et il passa du côté gauche. Le même phénomène se produisit.

Il poursuivit sa route sur le ventre de Camille et concentra son attention sur un creux. Camille frémit de plaisir. Avec ses mains, il caressait ses cuisses. Il plaça sa main droite sur le clitoris de son assistante rousse et pressa doucement le petit bouton d'amour. Il le malaxa encore et encore. Il sentait Camille succomber sous la pression de ses doigts. Bientôt, elle serait entièrement à lui.

Camille ne put contenir la tension que Monsieur K. lui infligeait. Elle se détendit et suivit le plaisir monter en elle. Il fut libéré au niveau de son bas-ventre et commençait à grimper dans son ventre. Monsieur K. vit distinctement les joues de Camille devenir écarlate. Il sentit qu'elle s'approchait dangereusement du plaisir ultime. Il se redressa légèrement, tout en poursuivant son massage intime. Il plaça son pénis en face de l'entrée de son vagin. Camille ferma les yeux et se mordit la lèvre inférieure.

Monsieur K. observa attentivement les attitudes de son assistante. Son plaisir atteignit alors ses seins. Et il montait encore. Elle se pourrait plus se retenir. Monsieur K. remonta et lui embrassa la joue avec tendresse. Son doigté ne manquait pas d'adresse et il le savait parfaitement.

Camille fondit. Son plaisir allait presque toucher au but.

- Tu es à moi.

Brusquement, il la pénétra. Camille s'entendit crier de surprise. Monsieur K. l'embrassa. Elle se cambra ne pouvant plus retenir son orgasme. Il s'affaira vivement. Camille jouit. Son vagin se contracta violemment et Monsieur K. participa au plaisir de son assistante. Il sourit et approcha ses lèvres de son oreille.

- Et maintenant c'est à moi.

Il s'enfonça profondément en elle et commença ses mouvements de va-et-vient.

à suivre...

 

Par camille - Publié dans : camille à l'hotel
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Vendredi 23 septembre 5 23 /09 /Sep 00:00

Monsieur K. la regarda attendant avec une impatience visible la réponse à sa question afin de pouvoir engager la suite des réjouissances. Elle réfléchit un instant et lui répondit :

- Aujourd'hui, je serais dominée...

Monsieur K. se trouva vivement intéressé par cette révélation. Durant les prochaines heures, Camille serait à lui. Il appréciait grandement cette idée : sa jolie assistante, dans ses bras, soumise. Oui, cette situation lui convenait parfaitement.

Camille se laissa faire. Il lui retira son soutien-gorge entièrement et le lança derrière lui. Il tira la jeune femme contre lui. Il plaça son sexe bandant entre les jambes de son assistante. Elle se pendit à son cou et il lui caressa les fesses. Elle ne portait plus que ses chaussures noires à talons.

Monsieur K. passa à la vitesse supérieure. Il prit son sein droit entre ses doigts et le malaxa. Il l'embrassa tendrement, parcourant le moindre recoin de son corps grâce à sa main libre. Il quitta ses lèvres et se dirigea vers son téton droit. Il le mordilla doucement. Camille se sentit brûlée intérieurement. Elle avait envie de cet homme qui savait lui procurer un bien être encore inconnu. Elle ferma les yeux et laissa Monsieur K. l'explorer à souhait. Il lui suça le téton avec plus d'ardeur. Un petit pincement lui arracha un petit cris. Il passe immédiatement à l'autre sein tout en pinçant le téton mouillé entre son pouce et son index. Ses longs touchaient le bois du bureau. Ensuite il mordilla le second téton de Camille. Il provoqua le même petit cri.

- Tu es sucrée.

Il dirigea sa main gauche vers le ventre de Camille puis vers ses cuisses. Son index s'approcha de ses parties intimes. Il écarta ses lèvres intimes avec douceur et chatouilla son petit bouton d'amour. Il caressa vigoureusement son clitoris puis s'aventura vers l'entrée du vagin. Il constata que Camille était particulièrement réceptive à ces petites attentions. Il enfonça doucement son index et son majeur dans le vagin de Camille. Elle frémit en sentant ce corps étranger entrer doucement en elle.

Il poursuivit son aventure par un mouvement de va-et-vient en Camille. Elle gémit faiblement face à cette sensation qui commençait à brûler tout son être. Il retira ses doigts et les plaça devant les yeux de la jeune rouquine. Il mit ses doigts dans sa bouche et finit par les lécher. Camille s'en trouva fortement excitée. Elle plaça ses mains sur le sexe de Monsieur K. et voulut lui détruire le dernier rempart qui pouvait encore la séparer d'une pénétration. Il lui prit aussitôt les mains et l'empêcha de saisir son pénis. Camille parut surprise et il lui sourit gentiment.

- C'est moi qui décide quand, comment et où... Ne va pas trop vite, jeune fille...

Camille rougit sérieusement devant un tel élan de sévérité. Il replaça ses doigts entre ses cuisses et la caressa encore et encore. Il la regarda les yeux pétillants. Camille, derrière ses lunettes noires ne savait plus quoi faire. Elle ne pourrait plus se retenir pendant longtemps, et elle comprit que c'était son but. Il tenait à la soumettre entièrement à lui. Il serait le maître durant le temps qu'il leur restait... Elle serait donc cette maîtresse.

Elle laissa glisser en elle cette sensation de douceur. Tout son corps le réclamait. Elle ne s'était pas laisser aller depuis tellement longtemps qu'elle se mit à craindre de ne jamais plus pouvoir éprouver cette jouissance. Monsieur K. l'embrassa soudain et activa ses mouvements en elle.

Camille se mordit les lèvres et encore une fois il retira ses doigts. Elle le regarda tentant de lui faire comprendre qu'elle serait très contrariée s'il ne continuait pas immédiatement. Il pencha la tête vers la droite et la questionna du regard.

- Tu seras à moi...

Il retira son slip et s'accroupit en face des parties intimes de Camille. Elle baissa les yeux ; il releva la tête et sourit...

à suivre...

Par camille - Publié dans : camille à l'hotel
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Jeudi 22 septembre 4 22 /09 /Sep 00:00

Monsieur K. se redressa et se plaça devant Camille. Elle recula d'un petit pas et laissa son string rouge et noir atteindre le sol. Elle se rapprocha de Monsieur K en mouillant ses lèvres. Elle plaça ses mains sur son torse et caressa avec une extrême douceur ce corps musclé et masculin. Ensuite, elle dirigea ses gestes vers la boucle de la ceinture retenant le pantalon noir de Monsieur K. Il la dévorait du regard, se languissant du moment où elle serait allongée dans les draps, gémissant de plaisir. Elle défit sans peine la boucle de sa ceinture. Il émit un son bestial et embrassa brutalement Camille. Elle fit coulisser la fermeture éclaire du pantalon. Elle libéra alors le pénis de son patron. Camille garda sa douceur malgré le geste surprenant de la part de cet homme si tendre.

 

 

Elle déposa délicatement son index sur les lèvres de Monsieur K. Il sourit et se reprit. Elle approcha ensuite ses lèvres de sa joue et l'embrasse amoureusement. Il se sentit fondre et l'enlaça tendrement. Brusquement, il la souleva et l'assit sur le bureau juste à côté de sa valise. Il lui écarta doucement les cuisses et se plaça entre ses jambes. Elle plaça ses mais sur son pantalon et celui-ci tomba directement sur ses chevilles. Il portait un slip blanc moulant. Elle effleura son pénis en érection.

 

 

Camille lui servit son regard de louve et plongea ses yeux dans les siens. Il parut particulièrement déçu qu'elle retire ses mains de son fétiche. Elle sourit et lui montra du doigt ses chaussures. Monsieur K. suivit des yeux son doigt et recula légèrement. Il retira son pantalon noir et d'un coup sec le jeta en arrière. Il retira ensuite ses chaussures l'une après l'autre et les poussa sous le meuble. Il caressa les épaules de Camille et fit glisser son chemisier blanc. Elle l'attrapa d'une main et le jeta à son tour juste à côté de son string. Il se tenait devant elle, en chaussettes noires et en slip.

Elle posa ses mains derrière elle et lui offrit sa généreuse poitrine encore enfermée dans son soutien-gorge rouge et noir. Il soupira d'excitation et la saisit par les hanches. Il la rapprocha de lui. Elle laissa tomber sa tête en arrière et lui offrit son corps. Il lui embrassa la poitrine, la gorge, le cou. Elle releva la tête et il l'embrassa tendrement. Il dégusta les lèvres rosées de son assistante rousse. Elle savoura la douceur de ce baiser. Il dirigea naturellement ses mains dans son dos. D'un coup sec, il dégrafa son soutien-gorge. Elle exprima sa surprise en ouvrant de grands yeux. Il éclata de rire.

- Tu pensais que je ne se serais pas à la hauteur ? Je suis toujours à la hauteur !

Elle le défia du regard.

- Quelle prétention !

- Nous verrons bien...

Camille se mouilla les lèvres et reconnut bien là les paroles de Monsieur K. Il négociait de la même manière avec les clients "récalcitrants au système en place". Elle réprima une envie de rire. Elle ne tenait absolument pas à entacher une atmosphère aussi chargée en tension sexuelle par une attitude d'adolescente trouillarde.

Elle reprit son membre en main, toujours à travers le tissu. Tout en caressant les épaules de sa jeune assistante, il fit glisser les bretelles de son soutien-gorge. Tandis qu'elle malaxait son pénis, Camille se surprit à penser que sa grosseur pourrait éventuellement poser problème. Elle se remémora sa douloureuse expérience passée. Elle se crispa légèrement. Monsieur K. sentit aussitôt son changement d'attitude.

- Je serais très doux, promit-il avec lui léchant le cou.

Il souffla légèrement, arrachant à Camille un frisson qui lui courut le long de la colonne vertébrale. Elle se reprit rapidement et constata que Monsieur K. commençait à la faire juter intérieurement. Elle sentit alors la douce chaleur de son patron. Elle se rapprocha d'avantage et lui saisit les fesses. Elles étaient fermes et musclées. Camille sourit et savoura ce moment. Il souffla doucement à son oreille :

- Dominante ou dominée ?

Elle ne répondit pas tout de suite.

à suivre...

Par camille - Publié dans : camille à l'hotel
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Mercredi 21 septembre 3 21 /09 /Sep 00:00

Camille recula légèrement. Etrangement, elle se ne sentait pas vraiment prise au piège. Cette situation semblait avoir quelque chose de comique, d'excitant et de torride. Elle lui demanda, avec un maximum d'innocence :

- Vous vouliez me parler ?

Monsieur K. recula également et tenta de capter son regard mais elle gardait obstinément les yeux rivés au sol. Il soupira et secoua la tête.

- Euh...oui.

Il passa la main dans ses cheveux noirs et sourit. Il ne termina pas sa phrase. Camille jeta un oeil vers la porte close. Elle fut quasiment obligée de croiser son doux regard. Il se rapprocha et lui souleva délicatement le menton. Elle plongea ses yeux menthe dans ses yeux marrons. Elle se sentait rougir au plus profond de son coeur. Il l'embrassa sur le front tout en passant ses mains dans ses cheveux roux.

- Ton tailleur est ravissant, mais je suis sur que tu es encore bien plus belle sans...

Le doux murmure de sa voix masculine lui caressa l'oreille. Elle se sentit défaillir. Il laissa ses mains glisser le long du corps de la jeune femme, puis sous sa veste. Il la fit glisser le long de ses bras et la lui retira entièrement. Il la regarda en souriant. Il défit ensuite les boutons de son chemisier.

- Tu devrais te détendre un peu. Je te mangerai plus tard...

Elle sourit malgré elle. Il était si tendre, si doux, et si patient. Elle remarqua alors qu'il portait un costume qu'elle n'avait jamais vu sur lui. Le noir lui allait particulièrement bien mais aujourd'hui, plus qu'un autre jour il était beau. Camille ferma les yeux, espérant de toute son âme qu'elle n'était pas encore dans un des ses rêves qui avaient fusés toute la nuit. Lorsqu'elle les rouvrit, il était toujours devant elle, tendre et doux. Elle ne rêvait pas ! Camille était en train de commettre l'irréparable avec Monsieur K. Peu importe. Elle avait terriblement envie de lui.

Elle glissa à son tour, ses mains sous la veste de Monsieur K. Elle tira brutalement la chemise, qui n'opposa aucune résistance, de son pantalon noir. Il retira sa veste, comprenant le message intime envoyé par la jeune femme. Camille caressa son torse imberbe. Elle laissa ses doigts visiter à volonté les courbes du corps de Monsieur K. Elle déboutonna alors sa chemise blanche.

La dominant d'une tête, il se pencha et descendit la tirette de sa jupe. Elle tomba sur la moquette dans bruit. Il découvrit alors, des dessous rouges et noirs à dentelle. Camille portait un élégant string à dentelle orné d'un ravissant papillon à la naissance de ses fesses. Monsieur K. autorisa ses doigts à caresser la peau blanche et douce de Camille. Il s'accroupit alors et se plaça en face de ses sous-vêtements.

Il saisit entre ses doigts le fil de ses dessous et tout en caressant ses hanches, il les lui retira. Il découvrit un sexe épilé. Camille ferma les yeux et pinça les lèvres. Il caressa ses hanches, laissa remonter ses mains sur son ventre puis écarta les pans de son chemisier blanc déboutonné. Il regarda sans surprise, le soutien-gorge rouge et noir assorti au reste des dessous. Camille portait des bas noirs sans porte-jartelle. Ses fines cuisses lui permettait de s'en passer.

- Tu es belle...

Ce fut plus un souffle qu'une parole. Il l'embrassa sur le bas ventre et prit ses fesses à pleine main. Camille ne bougea pas. Monsieur K. posa ensuite ses deux mains sur ses hanches.

à suivre...

Par camille - Publié dans : camille à l'hotel
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